mardi 27 novembre 2018

Et de 4 !

Et bien oui, cela fait 4 Echo Dot d'Amazon dans ma maison...

Après celui de la chambre et du salon, j'ai profité de la semaine du black friday pour acheter 2 exemplaires de la nouvelle version de l'écho dot (la troisième du nom) pour les 2 chambres de mes filles :


Premier constat, l'enceinte et plus grosse et la qualité du son s'en ressent : les basses sont généreuses et l'espace sonore est bien mieux rempli qu'avec la v2.
Cela correspond bien à mon usage car je connecte quasiment toujours celle du salon à mon ampli en bluetooth, ce qui me permet d'avoir un son d'excellente qualité que ne pourrait pas me fournir l'enceinte seule.
Même chose pour celui de ma chambre, que je connecte à notre mini-chaîne ou que je laisse à faible volume par exemple lorsque je fais jouer à Alexa des bruits de criquets ou de carillon pour notre chambre.
Mais mes filles n'ont pas de grosses enceintes dans leur chambre.
Les nouveaux echo dot sont donc parfaitement adaptés pour leur permettre d'écouter la musique qu'elles veulent dans leur chambre.

Oui, tout la musique qu'elles veulent. Car j'ai pris en complément de mon abonnement Prime l'offre "Music Unlimited", pour €9,99 par mois.
C'est assez bluffant, on peut demander la musique que l'on veut, le dernier album d'un chanteur ou n'importe quel style de musique et on l'a sur l'instant.
J'ai tenté par exemple "musique pour danser", ou encore "bossa nova", Alexa connaît presque tout...

J'ai aussi configuré le multiroom à l'étage, qui permet d'envoyer la même musique simultanément sur les 2 enceintes de mes filles, pour qu'elle puissent mieux sonoriser l'étage et partager leurs musiques.
Elles l'ont essayé et adopté immédiatement !

Et cerise sur le gâteau, je peux contacter mes filles dans leur chambre à partir du salon du rez-de-chaussée sans avoir à hurler grâce à l'option "Drop-In" (revoir mon premier test) !

Bref, Alexa, c'est bien sympa !

mardi 9 octobre 2018

Hickies 2.0 : Les lacets du XXIe siècle

Cela faisait plusieurs fois que je les voyais dans les magasins de chaussures.
J'ai enfin sauté le pas (c'est le cas de le dire), pour acheter et tester cette toute dernière trouvaille, qui nous promet de nous passer de lacer nos chaussures..."à tout jamais" comme disait ma fille quand elle était petite...

J'en ai donc acheté un paquet sur Amazon (€15 les 14 "lacets"), avec comme idée de derrière la tête que je pourrais les renvoyer au cas où ils ne conviendraient pas...


J'ai donc acheté la dernière version, la 2.0, de ces "lacets" high-tech.
Un nombreux choix de couleurs m'a permis de trouver l'idéal pour mes chaussures : "Gris anthracite" :


J'ai ensuite passé un peu de temps sur le site des lacets pour découvrir les différentes méthodes de laçage.

Les lacets ne sont pas réglables en longueur. Seule la façon dont on les enfile dans les œillets des lacets et dont on les croise permet de régler le serrage.
J'ai donc testé sur une première chaussure : le coup de main se prend assez rapidement et le système d'accroche caoutchouté fonctionne bien.
Mais le montage "standard" était trop serré en haut de la chaussure.
J'ai donc opté pour le montage "en C" pour les 4 trous du haut de la chaussure afin me permettre de mieux l'enfiler et l'enlever, exactement comme si c'était une charentaise !
Le serrage est dans ce cas un peu trop lâche, mais rien de dramatique.

Surtout car en échange je venais de me débarrasser de la corvée du laçage et du délaçage du matin et du soir !
Quel plaisir de les enfiler juste avec mon chausse-pied le matin, puis de les enlever avec les pieds sans me baisser le soir !
Il faut juste remettre les lacets bien droits le matin car ils ont tendance à vriller lorsqu'on enfile les chaussures....

J'ai donc conservé le produit et je suis heureux, une fois de plus, de continuer à être un innovateur !

mercredi 8 août 2018

Galaxy S9+ : Pour la photo !

Je viens de m'apercevoir que je n'ai même pas fait un petit article pour parler de mon dernier téléphone, le Samsung Galaxy S9+...

En fait, je vais moins vous parler du téléphone que de son appareil photo, tout comme l'a fait Samsung avec son slogan destiné à son nouveau modèle : "L'appareil photo, réinventé".
Car je suis passé du 8 au 9 seulement parce que ce dernier disposait, enfin d'un zoom optique et d'un double objectif.

Et je n'ai pas été déçu par la qualité des photos et de l'écran de ce dernier, qui a depuis belle lurette remplacé mon appareil photo bridge peu pratique à transporter.
Seul son zoom optique encore un peu faiblard peut encore AMHA justifier de transporter un appareil photo dans sa sacoche ou autour du cou...

Samsung a donc innové avec un zoom optique.
Lorsqu'on reste en-dessous de 1,5x, que ce soit en vidéo comme en photo, l'image reste de parfaite qualité et ne pixelise pas.
Mais dès que le zoom numérique s'active, la perte de qualité est visible. Vous serez avertis...

Mais il a aussi innové avec un deuxième objectif, qui permet de rendre les images encore plus lumineuses, même dans des conditions de faible lumière, comme ici :



Il a aussi doté son appareil d'un mode "mise au point directe", qui simule l'utilisation d'une longue focale à grande ouverture en rendant flou l'arrière plan comme sur cette photo :


Le rendu est bluffant et la qualité de l'image à couper le souffle, encore plus quand elle est vue sur l'écran du smartphone.
J'ai à ce sujet l'habitude de dire que les images prises par le GS9 sont "plus belles que la réalité", le traitement numérique du téléphone améliorant luminosité, contraste et colorimétrie d'une façon quasiment parfaite.

On pourra aussi parler du mode panorama, qui transforme (comme cela est le cas déjà depuis de nombreuses versions) le smartphone en ultra-grand-angle quand cela est nécessaire, réalisant de superbes panoramas sans aucun artefact de stitching, comme ici :



Bref, un bien bel appareil photo qui vous permettra aussi de passer quelques coups de fil quand vous en aurez besoin ;-)

mardi 7 août 2018

Toyota Rav 4 Hybrid

Après quelques mois d'utilisation, un petit avis sur ma nouvelle voiture s'imposait :
En effet, le très bon côtoie le moins bien et cela est bon à savoir quand on achète un véhicule de plusieurs dizaines de milliers d'euros...Voici donc mon avis :

1 - Look :

Disons-le franchement, 90% des personnes achètent une voiture (neuve) pour le look :
Je n'ai pas fait exception à la règle et j'ai craqué pour le look agressif et racé auquel est habitué Toyota, avec en prime quelques accessoires supplémentaires (marchepieds, barres latérales, barres de toit...).
Pas de toit ouvrant panoramique disponible, l'absence de toit ouvrant tout court sur la CH-R m'ayant dissuadé de l'acheter alors que je la préférais encore plus niveau look.
Mais il y a plus de place dans la Rav 4, l'affaire était donc pliée...

Le look

2 - Confort :

Beaucoup de place donc à l'intérieur, tant au niveau de la conduite, de la place passager, ou de l'arrière, les sièges étant inclinables et un large accoudoir permettant d'y placer des gobelets ou de jouer à des jeux pour les enfants.
Le siège conducteur est réglable électriquement en profondeur-hauteur-inclinaison, et on peut mémoriser 2 positions qui sont accessibles directement par l'appui sur le bouton choisi. Pratique et assez impressionnant.
Sur ma finition, un cuir molletonné vient agrémenter le tableau de bord et les portières, ce qui est très agréable.
Un grand écran tactile pour la navigation (dont je ne me sers pas, je suis beta-testeur Google Maps), et pas de lecteur de CD.
Exit donc mon support de tablette dans le lecteur de CD, j'ai trouvé un support qui s'insère dans le porte gobelet à la place...

Support de tablette sur porte-gobelet

La climatisation est bizone, ce qui signifie que le passager peut régler sa température indépendamment du conducteur.
Par contre pas de sortie de clim à l'arrière, ce qui est un peu dommage.
Niveau son, le système JBL fait bien son travail à l'avant, mais l'unique haut-parleur du coffre arrière donne une balance avant-arrière de piètre qualité - dommage pour un système de ce niveau-là.

3 - Conduite :

Qui dit hybride, dit boite auto. Quel plaisir d'être enfin libéré de ce carcan qu'est le passage de vitesse, que je compare sans hésiter à ces téléviseurs sur lesquels il fallait changer de chaîne à la main sans télécommande !
Il existe un mode séquentiel, que je n'ai jamais eu envie de tester tant la boîte automatique est réactive et fluide : Dès que vous demandez un coup de fouet, elle enclenche seule le rapport du dessous et vous fournit une pêche tout à fait correcte pour un véhicule de ce poids.
Au niveau des automatismes de conduite (feux, essuie-glace...), tout marche sans jamais avoir à toucher le moindre commodo, les phares commutant même automatiquement en feux de croisement lorsqu'un véhicule se présente face à nous...

Pas d'automatisme de suivi de file chez Toyota, seulement un régulateur/stabilisateur adaptatif à l'accélération et au freinage fluide. Son radar laisse un espace réglable entre la voiture de devant et la nôtre, variable en fonction de la vitesse, qui permet de ne plus toucher à l'accélérateur ni au frein pendant plusieurs dizaines de kilomètres...
Petit défaut, le réglage de vitesse par pallier de 5km/h est un peu violent, que ce soit pour l'accélération ou le freinage.
On se prend donc 4 secousses pour passer de 110 à 90, ce qui est assez ennuyeux, alors qu'un changement de vitesse moins "réactif" et plus fluide aurait permis de lisser la décélération plus intelligemment...

4 - L'hybride :

La Rav 4 hydride a donc 2 moteurs : Un moteur thermique (à essence), et un moteur électrique.
Un affichage permet d'ailleurs de suivre l'utilisation de ces derniers avec différentes flèches.
Le moteur thermique, qui s'active (malheureusement), dès le démarrage, sans doute pour "chauffer" le moteur, charge aussi la batterie.
Elle se charge aussi en descente ou grâce au freinage, ce qui est particulièrement bien pensé.

Malheureusement (encore), le mode full-électrique (EV), est en fait presque anecdotique :
Une espèce de "compte-tour" permet de visualiser l'accélération du véhicule et de contrôler le passage à l'électrique : En dessous de la limite "Eco", le véhicule est en électrique s'il y a assez de batterie.
Au-dessus, c'est le moteur thermique qui s'active.

Le "compte-tours"/"accéléromètre" et le schéma du "contrôle d'énergie"

A l'arrêt, le moteur thermique est donc à l'arrêt. Mais il faut alors faire attention au démarrage de ne pas accélérer trop vite sous peine de repasser en thermique.
Et disons-le franchement, on ne fera pas crisser les roues au démarrage en restant en électrique !!! (c'est un euphémisme !!).
De même, difficile de rouler à plus de 70km/h, même en descente, en électrique...
Et tout cela pour une durée maximale de quelques minutes, la batterie se vidant (mais se rechargeant aussi), à vitesse grand V...

Bref, avec une conduite extrêmement souple, et une attention particulière pour rester en électrique autant que possible, la bête consomme environ 6,5 litres au 100...Correct là encore pour un véhicule de ce poids, à condition de ne pas avoir envie d'accélérations brutales...

5 - Détails :

Le diable est dans les détails paraît-il, et j'y suis particulièrement sensible...

Parlons donc du coffre, pas aussi grand que ce à quoi on pourrait s'attendre sur un crossover.
Pas de prise allume-cigare non plus, mais un petit filet sous la plage arrière amovible bien pratique...
Luxe ultime, l'ouverture et la fermeture du coffre est électrique.
Du plus bel effet sur un parking, mais particulièrement lent à l'usage.
De plus, pas de capteur pour arrêter l'ouverture en cas d'obstacle, seul le choc le fait s'arrêter...
Pas d'option non plus pour fermer le coffre tout en verrouillant le véhicule...Il faut donc attendre une petite dizaine de secondes pour qu'il se ferme, puis verrouiller à l’aide de la télécommande ou du capteur sensitif des poignées avant...Les ingénieurs de chez Toyota n'ont donc pas eu l'idée de coupler les deux actions avec par exemple un double-clic sur le bouton de fermeture du coffre ?

Option sympatique : Une ribambelle de caméras grand angle entoure la voiture : Elles permettent donc non seulement la détection des voitures dans l'angle mort, mais aussi une vision tout autour du véhicule, matérialisée par un affichage, à faible vitesse, de la voiture "vue du ciel". Pratique pour les manœuvres sensibles...

Malheureusement, la découpe de la voiture est rectangulaire et il reste les coins noirs sur l'image aux quatre coins de la voiture...un peu à l'arrache messieurs les concepteurs...

Bref, un beau véhicule agréable mais perfectible.
Un mode électrique hybride préférable (AMHA) à celui d'une Tesla Model X qui oblige à sortir de l'autoroute pour aller faire le plein, mais perfectible encore en termes de reprise et d'autonomie.

Mais si Tesla veut me prêter un Model X pour que je le teste, je suis preneur quand même ! ;-)

lundi 23 juillet 2018

Test d'Amazon Echo Dot - Alexa

Etant membre Amazon Prime (forcément), j'ai profité du dernier Prime Day pour tester l'assistant vocal d'Amazon : Echo.

J'ai opté pour la version de base, l'Echo Dot, au prix non-remisé de €60 avec une remise de 50% pour Prime Day :


Il en existe 2 autres versions, l'Echo et l'Echo Spot, respectivement à 100 et 130 euros, qui sont pour la version intermédiaire de plus grande taille (meilleur son ?), et équipé d'un écran pour le spot.

J'ai aussi opté pour une prise connectée de chez TP-Link, compatible Alexa, pour seulement €10 au lieu de 40 !
Une lampe LED design et une multiprise pour brancher tout ça, j'étais prêt à découvrir un nouveau monde !


L'installation des deux appareils, qui utilisent la Wi-Fi de la maison pour communiquer, est relativement similaire : 
On installe l'appli de l'appareil sur son smartphone, on le branche, on le détecte comme un réseau Wi-Fi, 2-3 étapes de configuration simplissimes, et hop !
Pour associer la prise électrique à Alexa, il faut ajouter un "skill" à l'Echo Dot pour qu'il puisse contrôler les matériels de TP-Link.
Là aussi, en 2 temps 3 mouvement, la prise est détectée par l'appli Alexa.
Plus qu'à la définir comme lumière, et "Alexa, allume la lumière"...allume la lumière !
J'ai essayé de faire plus bref, avec "Alexa, lumière", mais l'assistante me donne alors la vitesse de la lumière en mètres par seconde, ce qui n'était pas vraiment le but recherché...

Alexa a plu à tout le monde dans la famille : Elle comprend en général très bien nos requêtes et questions, même si elle commet quelques erreurs lorsque les commandes sont passées d'une autre pièce, et sa synthèse vocale est de grande qualité. 
Son haut-parleur est lui aussi étonnant, fournissant un son assez ample lorsque cette dernière nous joue les musiques de notre bibliothèque musicale...
Le son est bien sûr encore meilleur quand on se connecte à une enceinte ou à une chaîne Bluetooth, et ce de façon très simple grâce à l'application...
On peut bien évidemment régler le volume à la voix, très intuitivement...
Seul problème, je n'arrive pas encore pour l'instant à jouer ma musique "Country", le genre de cette dernière ayant été renommé "Pays" dans "My Music Libraby" comme le dit Alexa qui n'a vraisemblablement pas la traduction française.
D'ailleurs, elle ne semble pas capable de traduire des mots...à voir...

Il existe aussi une option "Drop In" qui permet d'utiliser un deuxième Echo dans la maison comme interphone, ce qui est bien plus pratique que de crier de l'étage pour se faire entendre dans le salon...et vice-versa !

Bref, un bon investissement à moindre coût que cet assistant Amazon.
Je reviendrai ici bientôt poster des updates en fonction de l'utilisation que j'en ferai....

Update 10 août :

Et voilà, j'ai installé mon deuxième écho dans le salon !
Installé et configuré en un clin d'oeil, avec une lampe WiFi de chez Yee Light (la marque de lampe de Xiaomi) pour remplacer ma lampe bluetooth du salon.
Cette dernière dispose aussi d'un mode "Musique" qui fait varier les couleurs au rythme du son pour les soirées entre amis...
Du coup, c'est "Alexa, allume la lampe" lorsque je suis en bas et "Alexa, allume la lumière" lorsque je suis en haut, car les deux Echo partagent les mêmes périphériques.

J'ai aussi installé quelques nouvelles skills, dont celle des bruits d'animaux pour rigoler, et de nombreux sons d'ambiance (grillons, grenouilles, fontaine...) : j'adore.
J'aime bien aussi "Super Quiz", une espèce de Trivial Pursuit en 10 questions.
J'ai aussi pu, grâce à la nouvelle mise à jour d'Alexa, connecter mon calendrier Google : Je peux ainsi demander mes prochains rendez-vous à Echo !
Et puis c'est amusant de poser certaines questions sans queue ni tête à Alexa, qui a parfois des réponses amusantes, voire surprenantes

lundi 30 avril 2018

Google, arrête de sous-échantillonner !

Oui, j'ose plagier Dora pour cet article, car hier soir, Google m'a énervé.

Je regardais tranquillement Coco avec ma fille (superbe film à tous les égards en passant), et mon plaisir a été gâché à cause de la façon dont le film a été enregistré et diffusé par les services Google Play via ma Chromecast Ultra et mon accès THD (le matériel n'est donc pas en cause)...

Le film n'était qu'"en" HD, et était plutôt de bonne qualité au demeurant : Pas de pixels visibles malgré la (très) grande image de mon vidéo projecteur, scrollings et déplacements de la caméra fluides grâce aux fluidifieur de mon projecteur, qui transforme les 24 pitoyables images par secondes du cinéma en 120 Hz (voir ici).

MAIS, car il y a un mais, mon visionnage a été gâché par la méthode de sous-échantillonnage employée par Google...
Je m'explique : On nous bassine avec les écrans 4K, dont la résolution mirobolante ne sert pratiquement à rien ni à personne (voir ici).
Mais à côté de ça, on encode et on transfère la vidéo, même d'une offre de streaming haut de gamme, avec un encodage des couleurs qui génère des pixels monstrueux, et plus particulièrement sur la couleur rouge (voir Les différents formats d'encodage vidéo).

Sous-échantillonnage des pixels rouges sur un extrait de vidéo

Suis-je le seul à remarquer cela et à me plaindre de quelque chose que tout le monde trouve tout à fait normal ?

Mais est-il vraiment normal de continuer à utiliser une technique de compression qui date de plusieurs dizaines d'années, à l'époque ou le débit standard était de quelques kilobits par seconde ?

Nous prendrait-on pour des...quiches ?


jeudi 8 mars 2018

Test de la Fossil Q3 Explorist

Alors oui je sais, vous allez me dire que j'ai été long à la détente (pour cette fois)...
En effet, la Q3 Explorist est déjà sortie depuis plusieurs mois, et pour ma part c'était mon cadeau de Noël, donc j'ai mis un sacré moment avec de vous en livrer un test !

Mais du coup, j'ai pu la tester assez intensivement, et voici mes conclusions :

1 - Le look :

J'avais auparavant une montre hybride car aucune smartwatch n'avait à mon goût un look assez "montre" pour mériter de se montrer à mon poignet.
Les bouts de plastoc avec un écran noir toute la journée, ça n'est pas mon truc.
Voici donc un des écrans proposés avec la montre, et la montre elle même dans sa finition acier :

Ecran allumé                                                          Économiseur d'écran

C'est une vraie montre métallique, solide et lourde. Elle est assez grosse mais pas énorme et pas trop épaisse.
Elle est étanche aux projections d'eau (douche, etc...: IP 67), mais il faut éviter les immersion trop longues et trop profondes (éviter la piscine et proscrire la plongée).
Les boutons latéraux sont pratiques (voir plus loin), mais ne sont pas protégés par un "garde bouton" comme sur les G-Shock par exemple/
Bilan, dès que l'on plie le poignet vers le haut, cela déclenche la reconnaissance vocale, voire le redémarrage de la montre si on le laisse plié trop longtemps. Ballot...

2 - L'écran :

A gauche, l'écran allumé, qui ne le reste jamais très longtemps. A droite, l'écran en mode "économiseur", qui s'active obligatoirement même en mode "écran toujours allumé".
C'est dommage pour le look, mais indispensable pour la batterie, qui sans cela ne durerait jamais la journée entière.
Il est aussi possible de ne pas laisser l'écran allumé du tout, et on a dans ce cas le droit à un superbe écran noir, mais aussi à une durée de batterie accrue, à vous de choisir...

3 - La batterie :

Pour ma part, avec une utilisation modérée, la montre tient sans problèmes une journée entière.
La durée de vie de la batterie descend drastiquement si vous installez des applications ou en exécutez tout au long de la journée...
La montre se recharge exclusivement sans fil (IP67 oblige), avec un chargeur très pratique qui s'aimante au dos de la montre. Il est hors de prix vendu seul si vous en voulez un autre pour le voyage, mais il existe des modèles sans marque disponibles chez mon vendeur favori...

4 - Les applis :

Nous avons parlé watch, parlons smart à présent :

La montre est compatible Android Wear 2.0. Pour faire bref, elle est synchronisée en permanence sur tous les événements de la montre, y compris si vous avez plusieurs comptes.
Grâce au Bluetooth Low Energy, elle affiche toutes les informations du téléphone, du nombre de pas réalisés (si vous le souhaitez), aux MMS entrants (avec photo !), en passant par notifications Facebook ou les appels téléphoniques entrants (que vous pourrez accepter ou refuser sur son écran, mais non, vous ne pourrez pas discuter avec votre correspondant sur la montre comme je le croyais au début...).
Vous pourrez aussi contrôler votre lecteur de musique favori s'il est compatible, afficher le titre de la chanson et même régler le volume si vous n'avez pas la fonction sur le fil de votre casque.
Il est aussi possible de paramétrer les deux petits bouton de la montre pour exécuter n'importe quelle application, le grand étant réservé à la reconnaissance vocale et à la navigation dans les applications.

Mais le plus grand avantage d'être compatible Android Wear est de pouvoir accéder à toute une gamme de fonctionnalités et d'applications développées par des tiers-parties.
Ainsi, j'ai installé sur la mienne une application qui m'alerte quand je m'éloigne trop de mon téléphone (très pratique pour ne pas l'oublier !), et aussi et surtout un autre "visage" de montre car aucun de ceux fournis par Fossil ne me convenait :



Écran Galaxy Glow par Denite Appz

La société propose une ribambelle d'écran animés assez futuristes, et il en existe de nombreuses autres qui proposent ces nouveaux écrans, pour quelques euros : Merci Android et merci Google !

C'est tout pour ce review, j'espère qu'il vous aura intéressé !

Stay tuned 4 more !

Update août 2018 :

Depuis quelques semaines, et ce plusieurs fois par mois, ma montre reboote seule, puis ne cesse de rebooter (voir vidéo), jusqu'à ce qu'elle n'aie plus de batterie.


La magasin Fossil auquel j'en ai parlé n'a jamais eu vent du problème, mais on en parle sur Internet.
Je reste comme cela pour l'instant et si cela devient trop gênant je la ramènerai sous garantie en demandant un échange pour la Q4 ;-)

lundi 1 janvier 2018

Insta 360 One : Très bien...sur le papier...

Un article rapide sur l'Insta 360 One caméra à 360.

J'en avais déjà commandé il y a plusieurs mois une version que j'ai retournée immédiatement car j'ai appris avec étonnement qu'elle n'étais pas compatible avec Android mais seulement avec l'iPhone...

J'ai critiqué ce choix étonnant d'Insta, la firme à la pomme (et ses clients), ne semblant absolument pas intéressé par la 360 et la VR en général...On m'a répondu que s'il y avait un marché de niche, il fallait l'exploiter...Je doute que ce soit très "commercial", mais bon.

Lorsque le modèle compatible Android a été annoncé, je l'ai précommandé pour le Black Friday sur le site US d'Insta.
J'étais impatient de la recevoir, principalement pour sa stabilisation grâce à ses 6 gyroscopes.

Mais une fois la caméra reçue, ce fût la déception :

- Un "adaptateur" Android, peu pratique et indispensable pour contrôler la caméra,
- Un export en 360 certes rapide et compatible avec les standards mais au stitching ("couture") plutôt très mauvais (voir le PC sur la table). Pour avoir un stitching de qualité, il faut impérativement utiliser le logiciel PC qui est extrêmement lent comparé à la version mobile...
- Une stabilisation inexistante ? Malgré l'option idoine dans le logiciel PC (rien dans l'appli mobile), aucune différence notable lorsqu'on la sélectionne et qu'on exporte la vidéo à stabiliser...

Vous pourrez voir ces 2 défauts dans la vidéo ci-dessous :


Bref, avec des problèmes pareils, son mode "bullet time", son "suivi de personnage" et son montage 2D "a posteriori" sont encore plus gadgets qu'au début...
Est-ce un problème de jeunesse de la version Android ? Peut-être.
Mais j'ai besoin de cette caméra pour mon troisième job : http://sview360.com...

J'ai donc demandé un "refund" sur le site d'Insta et commandé une Theta V d'occasion sur Amazon, en espérant que sa stabilisation fonctionne, elle !